23 Ocak 2009 Cuma
12 Ocak 2009 Pazartesi
CAMPUS FRANCE à l'Institut Français d'Istanbul
L'Agence CampusFrance, créée par les Ministères de l'Education Nationale et des Affaires Etrangères français, a pour mission de promouvoir l'enseignement supérieur français à l'étranger, de faciliter et d'assurer la qualité des projets d'études en France, du choix de la formation à l'organisation du séjour.
Les espaces CampusFrance, informent et orientent les étudiants sur les études supérieures en France et les accompagnent dans la procédure d'inscription en ligne. CampusFrance apporte aussi son soutien sur les aspects pratiques de la vie estudiantine en France.
Les entretiens ont lieu sur rendez-vous.
www.campusfrance.org
www.turquie.campusfrance.org
Ecole de musique française à Istanbul
Fondée en 2001 sur le principe des écoles de musique française, L'Ecole de Musique, accueillie par l'Institut, propose à tous, sans distinction d'âge, de sexe ou de nationalité, l'apprentissage de la musique.
L'Ecole offre une initiation musicale aux enfants à partir de 4 ans. Le jardin musical permet aux enfants de maternelle de se familiariser avec la musique à travers le jeu.
Pour les élèves du primaire, elle propose un cursus classique pour le piano, le violon, le violoncelle, la flûte traversière, la clarinette, le saxophone, la guitare classique. Les élèves peuvent également s'intégrer à la chorale.
Aux adultes, l'école offre un enseignement sous forme "d'atelier", formule ne comportant ni examen ni solfège obligatoire. Les adolescents et adultes peuvent ainsi apprendre à jouer des instruments mentionnés plus haut ainsi que le piano jazz, le chant lyrique, l'alto, la guitare électrique. Tous les cours sont individuels et sont délivrés en français ou en turc.
Pour toute demande, s'adresser à Kibriye Bozkurt: 0532 508 51 00 (en turc) et à Türkan Karasu-Huet: 0532 365 38 00 (en français)
L'Ecole offre une initiation musicale aux enfants à partir de 4 ans. Le jardin musical permet aux enfants de maternelle de se familiariser avec la musique à travers le jeu.
Pour les élèves du primaire, elle propose un cursus classique pour le piano, le violon, le violoncelle, la flûte traversière, la clarinette, le saxophone, la guitare classique. Les élèves peuvent également s'intégrer à la chorale.
Aux adultes, l'école offre un enseignement sous forme "d'atelier", formule ne comportant ni examen ni solfège obligatoire. Les adolescents et adultes peuvent ainsi apprendre à jouer des instruments mentionnés plus haut ainsi que le piano jazz, le chant lyrique, l'alto, la guitare électrique. Tous les cours sont individuels et sont délivrés en français ou en turc.
Pour toute demande, s'adresser à Kibriye Bozkurt: 0532 508 51 00 (en turc) et à Türkan Karasu-Huet: 0532 365 38 00 (en français)
10 Ocak 2009 Cumartesi
Marionnettes - Samedi 7 mars 2009
Marionnettes - Le pêcheur et la gourmande
par la Compagnie Samildanach
Du mystère, de l'humour, de l'esthétique et de la poésie. Un tissage d'ombres, mêlées de marionnettes, de musiques et de voix pour conter des histoires qui évoquent la mer...
De la magie pour adultes et enfants!
"C'est une histoire ancienne, celle d'un homme et d'une femme pauvres qui vivaient au bord de la mer. Il est pêcheur, est est avide. Un jour un gros poisson enchanté se prend dans ses filets. Il demande à être libéré mais en échange propose d'exaucer le voeu du pêcheur..."
Entrée libre.
Dans le cadre du 3ème festival de marionnettes scolaires francophones organisé par le Lycée Notre Dame de Sion en partenariat avec l'Institut Français d'Istanbul.
Samedi 7 mars 2009 à 17h
Lycée Notre Dame de Sion
Cumhuriyet Cad. 205 Harbiye
0212.219.16.97
Conte à la médiathèque - Samedi 17 janvier 2009
Conte à la médiathèque de l'Institut français d'Istanbul -
Salade de contes
Prenez 1 ou 2 ogres, une poignée d'animaux ordinaires ou extraordinaires, un peu d'amour,
de peur, assaisonnez avec quelques enfants... Servir frais.
Conté par David Brosset
Samedi 17 janvier 2009 à 11h
Institut Français d'Istanbul
Istiklal Cad. N:8 - Taksim
TéL: 0212 334 87 46
http://www.infist.org/
4 Ocak 2009 Pazar
Le lycée "Notre Dame de Sion" à Istanbul
Le 7 octobre 1856, onze soeurs arrivent en Turquie. Elles viennent prendre à Istanbul, dans le quartier de Pangaltı, la direction d’un pensionnat appelé « Maison du Saint-Esprit », du nom de la Cathédrale voisine, et tenu jusque-là, par les Filles de la Charité. Le « Pensionnat » Notre Dame de Sion ouvre officiellement ses portes le 27 novembre 1856 et il est le premier lycée de jeunes filles à Istanbul sous l’Empire Ottoman.
L'école, qui a feté ses 150 ans en 2006, a pour principe d’unir ses valeurs traditionnelles, son expériences et les exigences de l’éducation moderne.
A l’origine, les élèves pratiquement toutes pensionnaires, sont uniquement issues de familles chrétiennes. Plus tard, des jeunes filles juives y sont accueillies. L’établissement qui s’était forgé une réputation de qualité, attire l’attention bienveillante du Sultan et reçoit, de hauts dignitaires de l’Empire, la demande d’y envoyer leurs filles et ainsi les premières élèves musulmanes sont inscrites en 1863. Les années passent. La première guerre mondiale voit le départ des soeurs françaises et la fermeture du pensionnat. Les bâtiments abritent alors une école d’ingénieurs puis un hôpital où des soeurs vont pouvoir travailler. La maison rouvre ses portes aux élèves à la rentrée 1919.
A la proclamation de la République Turque, l’établissement est soumis au règlement du Ministère de l’Education Nationale Turc. C’est au tour de Mustafa Kemal Atatürk, qui attachait une grande importance à l’éducation, de manifester au Lycée Notre Dame de Sion son intérêt. Il y inscrit ses filles adoptives et n’hésite pas à recevoir lui-même leurs camarades aux palais de Dolmabahçe ou de Beylerbeyi. Avec le temps, la structure de l’école change : aux pensionnaires s’ajoutent des externes et des demi-pensionnaires. Les enfants des classes aisées en côtoient d’autres venues de milieux plus modestes. Puis au fil des ans, d’autres modifications vont intervenir : en 1971, les classes primaires ferment et les dernières pensionnaires quittent l’école en 1972. Depuis 1989, la congrégation a confié la direction de l’établissement à un directeur laïc mais des soeurs continuent à y travailler. Grand changement : à la rentrée 1996 l’école est devenue mixte en accueillant une trentaine de garçons en classe préparatoire.
Aujourd’hui (2003), avec 472 élèves, 48 professeurs dont 16 français, le lycée Notre Dame de Sion poursuit avec dynamisme sa mission basée sur des principes de qualité et d’excellence. Le lycée Notre Dame de Sion a toujours oeuvré pour former des jeunes capables d’assumer un rôle, au-delà de la famille, dans la vie du pays. Il vise à forger des jeunes de caractère, à la conscience éclairée, ouverts au monde et cela grâce, d’une part à des relations simples et confiantes entre élèves et enseignants et d’autre part, au mélange, cher au fondateur, le Père Théodore Ratisbonne, d’enfants de milieux, de cultures et de religions différents. Habitués à vivre dans une atmosphère égalitaire, les jeunes y apprennent à connaître l’autre, à le respecter et à l’aimer pour ce qu’il est. Grâce à cet état d’esprit clairvoyant et tolérant, l’établissement souhaite inculquer aux jeunes amour et respect, sans fanatisme ni exclusion, dans la recherche constante de ce qui unit plus que ce qui divise.
L'école, qui a feté ses 150 ans en 2006, a pour principe d’unir ses valeurs traditionnelles, son expériences et les exigences de l’éducation moderne.
Le lycée de Galatasaray
Le lycée de Galatasaray est héritier d'une longue tradition. Fondé en 1481 par le Sultan Bajazet II, le palais-école (Endurun) de Galata était le lieu de formation des hauts fonctionnaires de l'empire ottoman. A partir de 1838, ses bâtiments abritèrent la Grande école impériale de médecine, qui fut sans doute le premier établissement d'enseignement francophone de Turquie et qui permit à la France de développer son influence en même temps que pénétrait dans l'empire la médecine moderne et la pensée rationaliste.
L'établissement d'enseignement, qui existe encore aujourd'hui, a été fondé en 1868, en tant que lycée impérial afin de former les futurs cadres de l'empire selon les standards occidentaux. Ce fut ainsi le premier lieu d'enseignement du « sport » en Turquie, dont le célèbre club de football, fondé en 1905, est l'exemple le plus connu. Il avait également un rôle de précurseur vis-à-vis de l'ensemble des établissements d'enseignement de l'empire. Conformément à la volonté de réforme de l'époque, dite « réformes des Tanzimat », cet établissement fut dès le départ multiconfessionnel, séculier et un creuset de l'unité nationale. Ce projet fut voulu par le Grand Vizir Ali Pacha, le ministre des affaires étrangères Fouad Pacha, diplômé de l'école de médecine de Galatasaray, et le sultan Abdul Aziz, qui avait été impressionné par la France lors de sa visite de l'exposition universelle de Paris de 1867. Ce fut Victor Duruy, en tant que Ministre de l'Instruction publique, qui permit, du côté français, la concrétisation du projet.
Au moment de la fondation de la République, le lycée de Galatasaray est apparu comme le lieu d'éclosion des principes laïcs, égalitaires et républicains en Turquie, ce qui a conduit à sa pérennisation. La France lui apporta un soutien constant, consciente de son rôle dans la formation des élites turques. Le général de Gaulle visita le lycée pour son centenaire en 1968 ; il y déclara notamment : « Lorsque la France, la première de tous les États occidentaux, reconnut le gouvernement d'Ankara, il est certain que la valeur d'une élite bien connue chez nous, était pour beaucoup dans la confiance que nous portions d'emblée à la Turquie moderne ».
Aujourd'hui, le Lycée de Galatasaray accueille près de 1 500 élèves, dont 30 % de filles, du primaire aux classes préparatoires. Une centaine de professeurs, dont 40 % environ de professeurs français, dispense un enseignement en turc et en français. L'école primaire, créée en 1993, scolarise 50 élèves recrutés par tirage au sort. Au collège et au lycée, l'enseignement en langue française assuré par les professeurs de l'éducation nationale et par des professeurs turcs francophones représente deux tiers de l'enseignement. Le taux de réussite au concours national d'accès à l'université est d'environ 95 %.
L'Association des anciens élèves de Galatasaray est un réseau d'influence fort de 6 000 personnes à travers le monde.
L'établissement d'enseignement, qui existe encore aujourd'hui, a été fondé en 1868, en tant que lycée impérial afin de former les futurs cadres de l'empire selon les standards occidentaux. Ce fut ainsi le premier lieu d'enseignement du « sport » en Turquie, dont le célèbre club de football, fondé en 1905, est l'exemple le plus connu. Il avait également un rôle de précurseur vis-à-vis de l'ensemble des établissements d'enseignement de l'empire. Conformément à la volonté de réforme de l'époque, dite « réformes des Tanzimat », cet établissement fut dès le départ multiconfessionnel, séculier et un creuset de l'unité nationale. Ce projet fut voulu par le Grand Vizir Ali Pacha, le ministre des affaires étrangères Fouad Pacha, diplômé de l'école de médecine de Galatasaray, et le sultan Abdul Aziz, qui avait été impressionné par la France lors de sa visite de l'exposition universelle de Paris de 1867. Ce fut Victor Duruy, en tant que Ministre de l'Instruction publique, qui permit, du côté français, la concrétisation du projet.
Au moment de la fondation de la République, le lycée de Galatasaray est apparu comme le lieu d'éclosion des principes laïcs, égalitaires et républicains en Turquie, ce qui a conduit à sa pérennisation. La France lui apporta un soutien constant, consciente de son rôle dans la formation des élites turques. Le général de Gaulle visita le lycée pour son centenaire en 1968 ; il y déclara notamment : « Lorsque la France, la première de tous les États occidentaux, reconnut le gouvernement d'Ankara, il est certain que la valeur d'une élite bien connue chez nous, était pour beaucoup dans la confiance que nous portions d'emblée à la Turquie moderne ».
Aujourd'hui, le Lycée de Galatasaray accueille près de 1 500 élèves, dont 30 % de filles, du primaire aux classes préparatoires. Une centaine de professeurs, dont 40 % environ de professeurs français, dispense un enseignement en turc et en français. L'école primaire, créée en 1993, scolarise 50 élèves recrutés par tirage au sort. Au collège et au lycée, l'enseignement en langue française assuré par les professeurs de l'éducation nationale et par des professeurs turcs francophones représente deux tiers de l'enseignement. Le taux de réussite au concours national d'accès à l'université est d'environ 95 %.
L'Association des anciens élèves de Galatasaray est un réseau d'influence fort de 6 000 personnes à travers le monde.
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